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Sur le ponton en bois auquel était venu accoster notre embarcation, se tenait un homme. Sa stature était impressionnante.
« Allez, ne traînez pas, suivez moi et en vitesse ! » hurla-t-il.
Les deux Ronins, qui paraissent bien malade, Akira et moi grimpèrent sur le ponton et suivirent l'homme à travers la forêt. Au bout d'un quart d'heure de marche, nous nous trouvions dans une petite clairière. Atour de cette clairière était disposé 5 bâtiments. A noter gauche et sur toute la longueur de la clairière se trouvait un grand bâtiment, le plus grand de tous. En face, un autre bâtiment remplissait lui aussi l'espace laissé par la foret à cet endroit. A droite, deux bâtiments de même taille que le deuxième, se partageait la longueur. Et juste à coté de nous le cinquième bâtiment identique aux trois autres, laissait juste assez de place pour le chemin par lequel nous arrivions.
- « Toi », dit l'homme en s'adressant à moi et désignant le bâtiment qui nous faisait face, « dans ce bâtiment ! tu trouvera à l'entrée des kimonos de couleur verte. Choisis en un et enfile le ; puis va te coucher avec les autres. »
S'adressant ainsi à chacun d'entre nous, il nous désigna chacun un bâtiment. Chaque bâtiment correspondait à une couleur de kimono. Akira eu le rouge (le bâtiment à coté du chemin), les deux autres Ronins respectivement le bleu et le jaune. Chacun de nous se dirigea vers le bâtiment que l'homme nous avait désigné. Quant à lui, il se dirigea vers le cinquième bâtiment.
En entrant dans le bâtiment, je me suis trouvé dans un couloir à gauche duquel, je trouvais les kimonos vert. J'en pris un à ma taille et avançais dans le couloir. Mis à part le couloir, qui servait d'entrée, le reste du bâtiment n'était qu'une immense pièce dans laquelle se trouvait 14 futons. 5 d'entre eux était occupés. Par prudence je suis ressortis du bâtiment et me glissant derrière, je me suis changé, quittant mon kimono de Ronin pour passer le kimono vert. Je gardais mon propre kimono sur moi pour me protégé du froid mais aussi pour qu'on ne le découvre pas. Mon corps restait la meilleur des cachettes. Et puis je n'étais pas sur qu'en le déposant quelque part par ici, je puisse le récupéré plus tard. Le tournoi n'avait peut être pas lieu ici. Je réintégrais le dortoir, choisi un futon et m'endormais.
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