La nuit, nous entendons un cri. Après regroupement dans la cour et recompte des hommes, il s'avère qu'un des nôtres (un rouge) a disparu. Son katana est toujours à côté de sa couche. Mais que s'est-il encore passé ? Je me rendors afin de récupérer pour l'épreuve de force le lendemain matin. Le lendemain donc, je n'oublie pas d'emmener mon tanto, car avec ce qui se passe on ne sait jamais. Bien sûr j'ai demandé l'autorisation à mon arbitre qui me prévient gentiment des conséquences si je m'en sers. Le bucheronnage me voit encore terminer second, et c'est le balaise qui gagne. Nous sommes dorénavant 3 rouges à posséder un macaron. Les tractations pour en récupérer un en fin d'épreuves risquent de donner. Durant le repas de midi un de mes colocataires meurt empoisonné dans d'atroces souffrances. Voyant ça je recrache ce que j'étais en train de manger. Je décide de faire la diète. A ce moment là il ne reste plus que 5V, 3B, 4J et 4R. L'après-midi me voit de nouveau arriver premier de justesse devant le gros balaise qui je le sens est un peu énervé. Me voilà avec 2 macarons, passeport pour l'accès au grand tournoi. Susano n'a toujours rien. Il n'est pas en forme notre champion de Topaze.
|